Le numéro 181 de la revue Décharge (14,8 cms X 20,8 cms), animée par Jacques Morin et Claude Vercey, comprend des poèmes (et chronique) de Florence Saint-Roch, Jean-Paul Klée (livre présenté par Claude Vercey et Jacques Morin), François de Cornière, Boris Wolowiec (présenté par Claude Vercey, Florence Trocmé, Laurent Albarracin, Christophe Stolowicki), Cédric Le Penven, Noée Maire, Anne Peslier, Philippe Leuckx, Charles Desailly, Christophe Brégaint, Johnny Roquand, Laurent Dhume, Hubert Le Boisselier, Yves Ellien, Sophie Van Der Pas, Adeline Baldacchino, Catherine Mafaraud-Leray, Sylvie Fabre-G. (présentée par Luce Guilbaud, avec un entretien avec l'auteur), Jean-Pierre Georges, ainsi que les chroniques de James Sacré, Jean-Louis Jacquier-Roux, Louis Dubost (et extrait d'un récit en vers de Joseph Pontus), Luce Guilbaud (et poèmes d'Emilienne Kerhoas), Mathias Lair, Yves-Jacques Bouin (présentation et entretien avec Tzveta Sofronieva, poèmes traduits par Jean Portante), Alain Kewes, Jacmo (chroniques de recueils de poésie).
Les illustrations (dont celle de couverture) sont d'Annabelle Gral.
Extrait de ce numéro 181 de "Décharge", ce poème de Charles Desailly :
"Derrière la porte coupe-feu le sas de décompression. Le produit de la rencontre des espaces morts. On ne perçoit pas tout de suite les limites de l'expansion des infrastructures ou le cycle ininterrompu de changement de destination des locaux. Les espaces vacants libèrent des valeurs toxiques. On tolère la pollution des zones incontrôlables. Le corps s'asphyxie dans son désert de projection. L'histoire s'annule."
Les illustrations (dont celle de couverture) sont d'Annabelle Gral.
Extrait de ce numéro 181 de "Décharge", ce poème de Charles Desailly :
"Derrière la porte coupe-feu le sas de décompression. Le produit de la rencontre des espaces morts. On ne perçoit pas tout de suite les limites de l'expansion des infrastructures ou le cycle ininterrompu de changement de destination des locaux. Les espaces vacants libèrent des valeurs toxiques. On tolère la pollution des zones incontrôlables. Le corps s'asphyxie dans son désert de projection. L'histoire s'annule."
Si vous souhaitez en savoir plus sur la revue Décharge, qui est vendue au prix de 8 €, rendez-vous sur son site : http://www.dechargelarevue.com/
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